Objet d’art, marqueur social, emblème de pouvoir: le bijou possède une valeur symbolique forte dans l’histoire des sociétés. La bijouterie est riche de cette réalité qui ne change pas, alors même que le métier a évolué ces dix dernières années sous l’influence de l’informatique. Mais si l’ordinateur et l’imprimante 3D sont devenus des outils qu’il faut savoir maîtriser, en entrant dans la filière, les élèves commencent par apprendre les gestes métiers à travers le dessin, l’utilisation des outils traditionnels et une compréhension de la réaction des matières lors de leur mise en œuvre. Les questions éthiques et écologiques liées à la provenance des matériaux font partie du processus.
L’apprentissage de la joaillerie commence en 2e année et se poursuit jusqu’en 4e année avec des concours lancés par des entreprises de prestige et des stages suivis dans des ateliers professionnels. Émaillage, sertissage et ciselage sont, entre autres, des techniques traditionnelles expérimentées au sein du cursus.
Dès l’entrée dans la filière, en plus de guider les élèves jusqu’à leur certification, l’équipe enseignante veille à valoriser leur créativité et leur individualité, afin qu’ils trouvent leur juste place dans un monde professionnel d’exception.
À l’issue de la formation CFC, les élèves ont la possibilité de poursuivre des études dans une école supérieure (ES) ou une haute école spécialisée (HES) en Suisse ou à l’étranger, ou se diriger par exemple vers la haute joaillerie ou le design de montres.
Plus d’informations sur la filière
Personne de contact
Richard Carbonnelle
Maître adjoint à la direction
